Napoleon Total War

Total War  saison 36(je mettrais des captures d'ecran quand j'aurais compris ou elles sont stockées!)

la confrontation était inévitable , l' empereur des Français Jérome Bonameur et le Tsar Gabriel Poutinor ce dispute une nouvelle fois l'Europe dans un combat sans merci



acte 1 : rompu a la guerre éclair grâce a ses experiences passées, Bonameur profite de la fin de l'hiver pour franchir les Alpes et attaquer les Autrichiens, la surprise est total et la première ville tombe presque sans combat, Bonameur continu sa marche victorieuse et dans un élan irrésistible attaque Venise qui tombe au terme d'un sanglant assaut durant lequel il est toutefois légèrement blessé ;
il est en effet malheureusement tombé de cheval sur un pieu qui lui traverse la poitrine pendant les combats, plusieurs balles ayant également perforés sa redingote, il ce rend compte qu'il pisse par plusieurs trous et décide de rentrer a Paris pour quelques soins.

De son coté Poutinor comprend que le temps joue contre lui et envahi la Turquie, a Bucarest les combats son très dur et son avance moins rapide qu'espéré, il sais qu'il ne pourra pas laisser l'Autriche seul trop longtemps face a la France, aussi il envoi son meilleur Général a la tête d'une petite armée en soutien a ses alliés, l’impétueux Coutouzof
ce dernier quelque peu imprudent a eu vent du congé de Bonameur, il suppose les troupes Française dans Venise seuls et mal commandés, aussi n'écoutant que son courage il attaque sans attendre l'agent du renseignement et met le siège devant la ville...finalement occupé par le Général Français Massena a la tête d'une forte armée largement supérieure a la petite brigade russe

le combat est inégale et les Hommes de Poutinor sont proprement coupés en rondelles, Coutouzof lui même a la  tête emportée par un boulet de 12 livres ,  on décide de l’évacuer pour le soigner a Moscou

On veut la suite!

faudra attendre qu'on la joue :)

été 1805

Bonameur remis de ses blessures, et de son coté Poutinor, tout deux assis dans leur bureau , poussent leurs pièces sur leur immense terrain de jeu, l'Europe

les armées marchent , ce cachent, s'évitent , le 2em round est un round d'observation

Bonameur malgré la toute puissance de ses armées est dans une situation inconfortable, dans son dos l'Angleterre et sa flotte menace l'Ouest, au nord la Prusse vient de lui déclarer la guerre , a l'Est les Autrichiens ont assemblés une formidable armée pour défendre Vienne , et enfin au sud dans les Balkans les Russes avancent en direction de l'Italie

de son coté Poutinor est confronté a d'autres difficultés, son économie peine a décoller, obligé d'investir dans l'agriculture et les infrastructures,  il laisse de coté les technologies et bâtiments militaire qui lui permettrait d'aligner rapidement des troupes bien équipés, ses centres de recrutement sont peut développés et rare sont les endroits ou il peut enrôler des soldats de qualité

Bonameur ne sachant vers quelle ennemies ce tourner décide au printemps de continuer les opérations contre l'Autriche, sa stratégie est de lui enlever le plus de villes possible avec le moins de combat possible, pour affaiblir son adversaire, c'est chose faite apres la prise de Zagreb au debut de l'été sans combat

de leur coté les Russes achèves leur adversaire Turc très affaibli avec la prise de Belgrade, l'Empire Ottoman en est réduit a la Grèce

le temps des mouvements s'achève, les bruits de bottes au nord annonce celui des grandes batailles

merci pour les infos, est ce que l'économie de Poutinor va lui permettre d'écraser l'Empire de Bonameur?

je pense que si Bonameur succombe, ce sera uniquement sous la multitude de ses adversaires qu'il aura peut être tarder a battre séparément, et également par le sort des armes sur le champ de bataille , sort qui peut être capricieux comme on le verra bientôt

Massena traverse le champs de bataille au gallop sans un regard pour les milliers de corps qui jonche la plaine , puis sautant de son cheval il rentre sous la tente impérial et salut  Collaincourt, l'aide de camp de Bonnameur
 "ou est l'empereur !?"

"ici même monsieur", Collaincourt désigne avec révérence une chaise pliante de campagne sur laquelle repose un bras et une oreille disposés sur un coussin,

Massena reconnais immédiatement le morceau de redingote grise sur le bras

"mais ou est le reste ??"

"nos soldats cherchent, ils ne devraient pas tarder a trouver, des que nous aurons tout les morceaux nous l’emmènerons a Paris ou les meilleur médecins s'occuperont de lui et le remettront vite sur pied...
la bataille a été plus difficile que prévu, nous étions supérieure en effectif, ils n'avaient pas de généraux de qualité, toutefois un conseiller militaire russe a fais disposer la forte artillerie ennemie sur deux rang,
quand l'Empereur a commandé l'attaque , notre infanterie a été d'abord accueillie aux boulets de 12 et 6 livres, puis a la mousqueterie , quand enfin elles approchaient a distance de tir, les pièces ennemie ont chargées a mitraille, ce fut épouvantable, des pans entier de régiments disparaissaient,  il a fallut prendre leurs positions d'assaut.."

Collaincourt glisse un regard vers l'oreille posée sur son coussin

"mais la victoire fut encore dans notre camp ,nous  restons mettre du champ de bataille" dit il plus fortement
un silence gêné s'installe quelques instants, "il entend mal depuis que le canon lui a tirer dessus a bout portant" précise Collaincourt
 
"très bien" dit Massena plus sombre," une victoire de plus pour la France contre l'Autriche, mais de nombreux régiments de prestige ont disparu, les meilleurs, en même temps au nord les Prussiens ont malheureusement tués le général Bernadotte et pris Hanovre, et les Russes approche de Zagreb, qu'elle sont les ordres de l’Empereur?"

Caulincourt  répond simplement

-" prenez le commandement de l'armée, faites pour le mieux en attendant son retour, et sauver la France..."

bulletin N°4 de la grande armée :



alors que l'Empereur est en convalescence a Paris suite la victoire de Graz contre les autrichiens, on apprend la disparition de l’amiral Villeneuve et sa flotte au court d'un violent engagement dans la manche contre les perfides Anglois, ses derniers disposant d'une flotte largement supérieur n'ont laisser aucune chance aux Français...

par ailleurs le Général Masséna a rejoint l'armée a Zagreb , ville désormais assiégé par une forte armée Russe, l'Europe a les yeux fixés sur cette petite ville ou le sort de la France, désormais sur la défensive, pourrait basculer défavorablement

Zagreb, Novembre 1805



le Comte Levin August Von Bennigsen est plus connu en Europe sous le nom du "bourreau des turcs" contre lesquels il c'est bâti une réputation d'homme implacable et de très bon général, son armée est composé de troupes aguerris au combat,  c'est avec confiance qu'il a mis le siège devant Zagreb mais c'est également avec hésitation qu'il envisage la bataille, en effet son adversaire n'est pas un inconnu, Masséna a déjà vaincu Coutouzov avec certes une forte supériorité numérique au début de la guerre,

ici a Zagreb les Français dispose a nouveau d'une forte armée, moins importante que les Russes mais plus importante que prévu une fois encore,
toutefois les renseignements militaire Russe ne signalent pas de présence d'autres armées ennemies a proximité , et Bennigsen sais que ses propres renforts sont en route , ils devraient arriver dans 3 "tours" de jeu, 3 tours étant le temps nécessaire de siège pour pousser les français a la capitulation , ou les obliger a une sortie difficile,

Bennigsen n'est pas pressé, et sa décision est prise, il attendra ses renforts tout en continuant le siège pour assurer la victoire, il ne le sais pas encore mais cette erreur lui serra fatal

ce matin la le Comte Bennigsen n'a vraiment pas de chance,

la journée a commencée par l'arrivée surprise d'une forte colonne de renfort Français que personne au renseignement n'a vu venir, alors que les renforts Russes eux, sont encore loin

immédiatement Masséna a commandé l'attaque générale alors que Bennigsen n'a même pas eu le temps de manger ses croissants, habitude matinal qu'il a gardé des campagnes de Turquie

ses forces regroupés sur des positions défensive, le Comte qui n'est decidement pas au mieux de sa forme, ne profitent pas de son court avantage de début de bataille pendant lequel les renforts Français sont encore en marche loin de la ligne, en effet Massena prend le risque d'attaquer avec de la milice en première ligne et en sous effectif

les combats ce poursuivent et les russes tiennent , Bennigsen dirige lui même une contre attaque au centre ou, finale malchance, il est tuée par un boulet , de son coté Massena échappe de peu au même sort dans une charge pour sauver son artillerie


malgré la perte de leur général les officiers Russes ne lâchent rien, mais constatant l'arrivée continuel de renforts Français, ils commandes la retraite pour sauver leurs soldats méritants

ils croiseront sur la route de la retraite en direction de Belgrade les troupes Russes de secours arrivant trop tard

ralala que de rebondissements

Hiver 1805


Mikhaïl Koutouzov


koutousov aime les plages Grec, le poisson grillé et l'huile d'olive , le climat dans cette région est très agréable pour l'hiver,
après y avoir liquidé les derniers Turcs de l'Empire Ottoman, il a décidé de ci reposer quelques temps mais il sais qu'avec la mort de Bennigsen, le devoir l'appel de nouveau vers la guerre, aussi il quitte la Grèce avec ses troupes reconstituées et fais un peu plus tard la jonction avec le reste de l'armée Russe a Belgrade,

il suppose Masséna toujours en faction a Zagreb, on sais également que Murât, fidèle général de Bonameur, vient de livrer bataille plus au nord dans la région de Venise a une petite armée autrichienne ,aventurée la on ne sais pourquoi, qu'il a battu

au delà de cette mauvaise nouvelle, koutouzov vois qu'il y a donc une armée Française qui a subit des pertes, et qui est provisoirement au repos,

son plan est simple, il faut surprendre les Français en déployant des effectifs pour une fois supérieur, avant le retour de Bonameur et l'armée de Murât sur le front

il quitte ses cantonnements avec deux armées complètes, mais alors qu'il ce trouve a mi-chemin et a porté de l'ennemi, un rapport des renseignements lui parvient qui le plonge, lui et son état major dans la stupéfaction

Murât a la tête de nouvelles troupes fraiches a été vu au coté de Masséna, et Bonameur lui même, de retour et a la tête d'une troisième armée est signalé a un tour de marche seulement derrière la ville

Koutousov accuse le coup, il est a nouveau en sous effectif pour livrer bataille, après quelques hésitations il décide de temporiser en plaçant son armée sur une position avantageuse a mi chemin de vienne et de Belgrade, mais ses derniers événements, même sans combats, signent un échec certain et une défaite stratégique des Russes

aie aie aie!! Mais que fais le saint empire?

pour l'instant le saint empire ne fait rien :)

voila les dernières nouvelles de la guerre

printemps 1806 :

les Russes ont rassemblés leurs forces a Belgrade, pendant l'hiver, ils ont recrutés a tour de bras, construit les routes et entrepôts de ravitaillement nécessaires, farci les villes d'espions, préparés l'action pour faire sauter le vérrou de Zagreb toujours défendu par les généraux Français Masséna et Murât

l'armée est enfin en ordre et tout est prêt pour le départ,

mais alors qu'il sort de sa tente l'épée a la ceinture, Koutouzov voit un oiseau de mauvaise augure arriver en courant, c'est un officier des renseignements ,essoufflé par sa course, qui ce présente devant lui
-"mon général une grave nouvelle venu de méditerranée ; la flotte espagnol a été repérer au large de l'Italie et  elle fais route vers la Grèce, c'est toute l'armada espagnol qui ce présente a nos portes et il est certain qu'elle transporte un corp expéditionnaire destiné a être débarquer sur nos arrières"

Koutouzov accuse une nouvelle fois le coup, il sais que la flotte Russe de mer Noir est incapable d'arrêter ses nouveaux adversaires, frustré il ce tourne vers ses hommes ;

"messieurs il faut croire que Dieu aime les Français, ses événements reporte une fois de plus notre offensive sur Zagreb, nous levons le camp comme prévu mais en direction du sud et a marche forcée , quelques soit l'endroit ou ses bouffeurs de tapas débarqueront , nous en ferons des tranches de chorizo qu'on ce gardera pour l'hiver a Moscou, quand nous aurons fini avec eux je suis certain qu'ils préférons repartir a la nage que rester en notre compagnie"

c'est sur ses mots que l'armée lève le camps et marche sur Athènes








De leur coté les Français poursuivent leurs opérations contre l'Autriche et malgré une défaite cinglante ou le général Français Jean Reynier est tué, l’incurie tactique de l'archiduc Autrichien permet a Bonnameur de prendre malgré tout la ville de Prague




toutefois alors que les Français sont en bonne voit d'en finir avec l'empire austro-hongrois, une nouvelle perturbe également leurs plans;

les Anglais jugeant enfin leur effectif suffisant débarquent a Calais

Ho putain !! un anglais dans le cul, ça doit avoir un peu de mal à passer pour Bonameur.

ouaip surtout qu'on connait l'amour de l'empéreur pour les rosbeef :)

Ben c'est discutable !! d'un coté il aime pas les grands bretons et à souvent clamé "enculés de Rosbeefs", de l'autre dans sa jeunesse, lors de sa formation de mousse, il se rappelle parfaitement la position dans la cabine du capitaine. Il ne le clamait pas encore mais il le pensait très fort "enculé de capitaine". Remarquons l’ambiguïté de sa personnalité : traité son bourreau du même mot que se qu'il subit au fond d'un cabine !

les cossacks


Automne 1806

le Tzar Poutinor ,assis devant la grande table a carte du Kremlin, réfléchi aux derniers éventements,

devant lui les pièces représentant les armées ennemies et amis, flottes, agents, point stratégiques

on vient de lui apporter des tranches de Chorizo confectionnées grâce aux restes de l'armée Espagnol que Koutouzov a ramener avec lui a Moscou,
un vague sourire éclaire son visage, "sacré Koutouzov, toujours en première ligne a soutenir ses hommes, il oubli toujours qu'il est obèse et qu'il fait une cible facile"

en effet le Général venait de rentrer victorieux, mais une fois de plus blessé, après avoir écrasé les Espagnols devant Athènes, ses derniers avait perdu du temps pour trouver un endroit propice au débarquement et grâce a ce délai inespéré, les Russes les avait rattrapés sur la cote et sèchement battu en deux batailles 

Poutinor dégustait le délicieux Chorizo , dans l'ensemble il était satisfait de son armée même si il n'avait pas pu sauver les prisonniers ennemie, il ne pouvais malheureusement pas empêcher ses joyeux Cossacks de galoper heureux et libres et de jouer avec les Espagnols en les trainant derrière eux, après tout, leur curiosité était bien normal, ils n'en avaient jamais vu avant
le Tzar enleva les deux pièces espagnol présente en Grèce, la Flotte ibérique ayant repris la mer

il pris également la pièce rouge qui avait débarquée a Calais en secouant la tête ; "n'importe quoi ses Anglais" marmonna t'il, ses idiots s'en était finalement pris aux hollandais, puis avait battu une armée Française pour finalement voir leur force fondre dans des combats sans intérêt contre des seconds couteaux, ce débarquement Anglais c'était révélé être une aventure sans lendemain et inutile

au final l'intervention Espagnol avait quand même permis au Français de continuer l'opération de destruction des Autrichiens, les Anglais n'ayant pas été capable de créer le danger dans le nord, ils avaient eu les mains libre pour prendre Prague et au dernière nouvelles, c'était Vienne qui venait de tomber, Masséna venait en effet de rentrer victorieusement dans la capital Autrichienne .

au fond même si les événements de cette année 1806 lui étaient défavorable, Poutinor était content, il trouvait cette guerre passionnante, quand il croyait gagner; un événement remettait tout en cause, comme le flux et reflux des marées tout pouvait arriver demain, tout restait a écrire dans cette guerre.

Poutinor plaça une pièce bleu sur Vienne quand son aide de camp, d'origine Cossack, rentra dans la salle

"votre escorte est prête, ainsi que notre nouvelle cavalerie lourde, le Général Koutouzof  attend également , quelle sera notre destination ? "

Poutinor pris sa veste et son manteaux d'hiver

"toi et tes amis des steppes avez déjà vu des Français demanda t'il en souriant ?"